Pourquoi cet article ?
Cet article est écrit en réponse à toutes les critiques qui émergent à propos du reportage « Hold Up » qui donne une autre version de la situation pandémique. Il n’y est pas question de dire si ce film a raison ou tort, mais de revenir sur ce qui nous semble être le fond du problème soulevé.
Il nous semble que le fond du fond tient principalement à une histoire de bons sens et d’intégrité.
Nous pensons que le moment que nous vivons est assez préoccupant pour ne pas se contenter de critiquer ceux qui ne « font pas sérieux ».
En tant que citoyen, chacun d’entre nous devrait avoir à cœur de se rappeler sans cesse de l’incroyable permissivité aux abus de pouvoir que le contexte de pandémie permet… et nous devrions simplement tous être solidaires pour que cela ne se produise pas.
C’est un point où nos libertés individuelles sont en jeu et où nous avons tous une responsabilité dont nous pourrions bien avoir à rendre compte si nous nous apercevions en effet que tout cela aura d’abord servi à enrichir les plus riches, donner plus de pouvoir aux plus puissants, spolier les ressources de la terre, s’en prendre à la liberté et au vivant.
L’histoire est pleine de sales histoires
Nous ne pouvons nous contenter d’une seule version des faits : un méchant virus qui vient la nature, des gouvernements dépassés qui font de leur mieux, des super vaccins sortis des laboratoires high-tech qui vont nous sauver.
Un gouvernement sain devrait, au contraire de ce qui se passe, se réjouir du fait que les citoyens cherchent à clarifier la situation. Un gouvernement sain et des médias intelligents devraient se réjouir que des organismes assurant des contre pouvoirs indépendants, même amateurs, existent, car ils sont le garant de la transparence et de la démocratie.
Des médias intelligents et indépendants devraient s’appuyer sur les pistes levées par ces initiatives amateures pour en investiguer en profondeur la pertinence plutôt que de mettre toute leur énergie à les démonter sur la forme ou la naïveté… ou pire pour le motif que la contradiction est un danger de santé publique.
Le reportage est plein de maladresses, d’amalgames, de données non vérifiées, de prises de positions unilatérales et émotionnelles, c’est vrai, et c’est dommage puisque ça donne le bâton pour se faire battre.
Comment la réflexion aurait-elle pu être organisée d’une manière qui ne la discrédite pas ?
Peut-être en structurant les données par ordre de certitude :
1/ Quels sont les faits ?
Écarts de richesses avérés et croissants, perméabilité avérée entre la politique, la finance et les médias…
2/ Quels sont les éléments qui éveillent l’attention sans pour autant être des preuves de quoi que ce soit ?
Lobbying international issu des grands groupes et de fondations dites philanthropiques en faveur des vaccins d’une part, et de la mise en place de mode de contrôle des populations via la technologie. Juridictions en faveur de ces groupes, déresponsabilisation judiciaire des financiers et des politiques…
3/ Qu’est-ce qu’on pourrait craindre de pire ?
Crise économique massive ? Coup de génie commercial des fabricants de vaccin ? Mise en place de systèmes de contrôle à la Chinoise ? Eugénisme ?
4/ Que faire ou que penser ?
Comment rester en alerte sans paniquer, rester calme sans s’endormir?
Quels sont les leviers importants à activer pour éviter le pire au cas où il serait avéré?
Y-a-t-il des obstructions médiatiques ou politiques à la pleine considération de cette possibilité?
Si oui qu’est-ce que ça veut dire : immobilisme ou complot?
Dans tous les cas, que faire?
Le corps est l’espace d’une intelligence bien plus vaste que notre seul mental, et il est urgent d’y atterrir de nouveau pour retrouver de la clarté, accueillir nos émotions, comprendre nos besoins individuels et collectifs, reprendre conscience de ce qui nous soutient, de nos valeurs essentielles, de nos compétences particulières… et au final des actes que nous pouvons poser qui sont adossés à tout cela, bon pour nous-mêmes, notre communauté, la communauté humaine et la communauté du vivant.
Nicolas BERNARD